Même avec l’objectif le plus rapide qui soit et un reflex numérique haut de gamme, réussir à prendre un animal sauvage en photo peut s’avérer être assez délicat lorsque ce dernier se déplace rapidement.
Non seulement votre autofocus peut ne pas être suffisamment rapide pour suivre la vitesse du sujet en déplacement, mais il se peut également que vous ratiez un super comportement pour des mauvais réglages.
Heureusement, il existe plusieurs façons pour réussir à photographier des animaux qui ont la bougeotte !
Voici 7 astuces pour obtenir des photos d’animaux sauvages en action.
#1 – Les indices comportementaux
Cette première des sept techniques ne concerne pas un réglage, mais une compétence naturaliste ! Et si je la mets en premier, ça n’est pas pour rien : c’est la meilleure technique qui soit pour augmenter vos chances de faire de super photos.
Car plutôt que de devenir incollable sur les réglages de votre appareil, devenez un as du comportement animalier, ça sera bien plus effiace.
Voici concrètement pourquoi.
Les animaux, malgré eux, passent leur temps à donner des informations sur ce qu’ils s’apprêtent à faire. Si vous faites vraiment attention aux sujets que vous photographiez, il y a de grandes chances que vous puissiez prédire leurs prochaines actions.
Prenez les oiseaux.
Beaucoup, quand ils s’apprêtent à décoller, adoptent une attitude précise. Juste un détail qui, même s’il est très rapide, ne trompe pas. Comme par exemple le fait de s’incliner d’abord en avant juste avant le décollage. Quand d’autres sembleront «nerveux » avant de prendre leur envol.
C’est grâce à ça que j’ai pu être prêt au décollage de cette mésange.
Autre exemple avec une autre mésange.
Lorsque je l’ai photographiée, elle était en train de se baigner sur un plan d’eau artificiel (au bord d’une DrinkStation).
Grâce à mes nombreuses observations passées, je sais que ces oiseaux se secouent après s’être « baignés ». J’ai donc préparé mon appareil photo pour être prêt :
- mise au point faite sur le sujet, rafale rapide sélectionnée et doigt sur le déclencheur.
- mise au point faite sur le sujet,
- rafale rapide sélectionnée et doigt sur le déclencheur.
Après quelques secondes d’attente, l’oiseau est sorti de l’eau et a déployé ses ailes, comme prévu. J’ai appuyé sur le déclencheur en étant prêt.
C’est ma capacité d’anticipation de ce comportement précis qui m’a permis de prendre cet instant en photo. Si j’avais essayé de passer à l’action juste au moment où il prenait cette position, tout aurait été fini avant même avoir pu faire la mise au point ou déclencher.
#2 – Pas de Live View
Vous ne devriez pas activer le mode Live View sur votre reflex numérique pour photographier les animaux sauvages en mouvement.
Cette fonctionnalité, à priori séduisante (il s’agit de viser avec l’écran arrière), rend le suivi du sujet en mouvement très difficile. En effet, l’autofocus devient bien plus lent avec le Live View activé.
Autre chose négative : la façon dont vous prenez l’appareil. En le tenant à bout de bras, vous perdez beaucoup en stabilité. L’effet de vos mouvements est amplifié, à plus forte raison avec une grande focale.
Si vous venez du monde du compact (et c’est probable) vous pouvez avoir envie de conserver cette façon de prendre les photos car vous aimez voir en direct la scène visée sur l’écran LCD.
Mais d’aussi bonne qualité soit-il, je vous conseille de perdre cette habitude.
Utilisez à la place le viseur optique. Vous serez immergez dans la scène, vous serez plus stable, vous ferez de plus belles compositions, et surtout vous bénéficierez d’un autofocus hyper réactif.
#3 – Haute vitesse d’obturation
En photographie animalière, on utilise très souvent des vitesses d’obrutations élevées.
Deux raisons principales.
La première, pour figer vos propres micro-mouvements amplifiés par les longues focales utilisées (exactement comme quand vous regardez dans une paire de jumelles en vous disant « bon dieu, je tremble » alors que vous ne tremblez pas plus que d’habitude, juste que le grossissement amplifie les tremblements)
C’est ce qu’on appelle le flou de bougé.
À ce propos, voici une méthode très simple pour savoir à quelle vitesse minimum vous devez shooter pour stopper ce flou de bougé.
Il est bon de choisir une vitesse de 1 divisée par la longueur focale de votre objectif.
Par exemple, un objectif de 400 mm devrait être utilisé à une vitesse d’obturation d’au moins 1/400 de seconde pour éviter ce fameux flou de bougé.
La deuxième raison à présent : pour figer les mouvements rapides des animaux en action. Comme une aile d’oiseau en vol ou une course de mammifère.
Et là, la règle donnée ci-dessus ne fonctionne plus ! Car la vitesse à choisir ne dépend plus de vous et de votre objectif, mais de l’animal. Il faut donc bien souvent une vitesse d’obturation plus rapide que le 1/400 donné plus haut en exemple.
Je vous recommande donc d’ajuster (comprendre augmenter) la vitesse autant que nécessaire jusqu’à ce que le mouvement soit net.
1/800 de seconde est un minimum pour avoir la tête et l’oeil net d’un passereau très vif. Mais si on veut figer le battement de ses ailes, alors 1/2000 est nécessaire.
Dernière chose.
Il y a net et net.
Ce qui peut vous sembler net de prime abord en vérifiant sur votre écran arrière, ne l’est pas toujours.
Je vous conseille de zoomer au moins 8x sur l’écran pour vérifier si l’animal est parfaitement net. La qualité des écrans aujourd’hui est telle qu’on peut croire qu’une image est nette alors qu’elle ne l’est pas réellement.
#4 – Pas de trépied
Je suis le premier à dire qu’un trépied est le premier des accessoires à posséder.
Pourtant, pour suivre l’évolution rapide d’un animal dans la nature, cet outil, indispensable dans bien d’autres cas, sera ici handicapant.
Vous devriez donc mettre votre trépied de côté quand votre séance photo est dédiée à la prise de vue d’animaux rapides.
Cela est particulièrement vrai pour certaines têtes de trépied de type 3D avec des leviers de serrage. Elles peuvent être une vraie contrainte lorsque vous essayez de suivre un sujet qui se déplace de aléatoirement.
Libérez donc votre appareil photo des griffes de votre trépied pour pouvoir bouger en toute liberté. Comme je l’ai fait pour cette photo à main levée de hibou des marais.
Je suis bien conscient que certains objectifs sont très lourds, et leur port à bout de bras à main levée est très difficile.
Mais personne ne vous demande de tenir 15 minutes non stop ! Suivez l’animal le temps de son vol ou sa course, puis reposez l’appareil.
D’ailleurs, plus vous tentez de tenir à main levée, plus vos muscles se tétanisent, plus vous tremblez ! Faites des pauses. 🙂
#5 – Autofocus Continu
Faites passer votre appareil photo en mode autofocus continu. Ainsi, à condition de laisser votre doigt appuyé à mi-course constamment, le reflex cherchera toujours à garder le point sur l’animal en mouvement (il faut le suivre évidemment).
Autre astuce moins connue mais tout aussi efficace : il s’agit de la priorité à donner au déclenchement plutôt qu’à la mise au point.
En d’autres termes, cela signifie que vous allez donner l’ordre au reflex (via les réglages dans les menus) de déclencher même si la mise au point n’est pas faite quand vous appuyez sur le déclencheur.
Fouillez dans le menu de votre appareil photo pour trouver le paramètre qui définit la priorité entre la mise au point et l’appui sur le bouton de l’obturateur.
Faites que ce soit l’obturateur qui ait la priorité, de cette façon vous pourrez être sûr de pouvoir prendre des photos quoi qu’il arrive.
#6 – Attendez
Si vous vous rendez compte que les capacités de votre appareil sont trop limitées, et que vous n’arrivez pas à suivre l’animal en mouvement, vous devriez alors changer de méthode.
Avant de changer de matériel (bon, si vous pouvez changer les deux, why not ! 🙂 ) .
D’abord, comme indiqué plus haut, cherchez des tendances comportementales chez l’animal.
Plus haut j’évoquais les habitudes des oiseaux, on pourrait même parler de « tics ». Mais les mammifères aussi ont leurs rituels ce que j’explique notamment dans cet article sur les chevreuils.
Comment emprunter toujours les mêmes chemins. Il suffit de voir à quel point parfois la végétation est marquée par ces passages répétes.
Donc si vous repérez en amont un de ces lieux de passage (qu’on appelle dans le jargon des « coulées ») c’est une très bonne chose pour réussir une photo d’un comportement intéressant.
Installez-vous à bonne distance de ce lieu, camouflé, à bon vent, et attendez. Faites la mise au point là où l’animal devrait faire son apparition (mais on n’est jamais sûr de rien 🙂 ).
À présent, il ne vous reste qu’à attendre que l’animal entre dans votre champ, et à appuyer sur le bouton.
C’est ce que j’ai fait avec ce blaireau européen qui est apparu sur le chemin qu’il emprunte à sa sortie de terrier. J’étais prêt, pas surpris, mes réglages étaient fixés à l’avance.
Moins difficile que les mammifères, ce sont les libellules. La plupart en effet se posent sur un perchoir végétal, repartent, … et se posent sur le même perchoir.
Il suffit de faire la mise au point un peu avant le perchoir, d’attendre l’arrivée de l’insecte, puis de déclencher quand il arrive se poser.
#7 – Activez la prise de vue en rafale
Un dernier conseil que vous avez pu lire de nombreuses fois sur mon blog, comme ici par exemple.
En effet, pour optimiser et maximiser vos chances d’obtenir une bonne photo avec le comportement souhaité, il faut prendre le plus de photos possibles dans le laps de temps le plus court possible.
Si on reprend l’exemple de la libellule, il faut en effet commencer à shooter en rafale un peu avant que l’insecte ne se pose et s’arrêter un peu après.
Cela dure entre 2 et 3 secondes, mais dans ce laps de temps, vous aurez une vingtaine de photos. Dans le lot, vous devriez en avoir une bonne. Sinon … recommencez ! 🙂
Dites moi en commentaire si cet article vous a aidé ! 🙂
Article très utile, merci.
?
et le réglage des ISO…bas élevé.. a son importance aussi lequel privilégier???
merci
Excellent résumé.MERCI
Absolument génial. Ecologue moi-même..et paysagiste de profession je transmets â mon fils qui s’est mis au reflex et â qui j’ai offert des mini stages car une de ses passions photographiques est animalière et ce que j’ai lu sur votre site va lui être très utile. Un grand merci.
top ! merci !
Avec un simple appareil sur son téléphone on peut faire de belles photos. Moi j’en prends plusieurs quitte à les trier et à garder la meilleure. L’appareil offre de nombreuses possibilités de correction d’agrandissemenrsc de rectificarionbdes couleurs etc
J’a pris de jolies photos de pigeons de Paris tout simplement en me postant devant un groupe qui mangeait des miettes de pain! Faites de Belles photos !
Merci régis pour tes explications. C etait mon problème d hier avec les mésanges de ma mangeoire. Effectivement un ballet en discontinu mais toujours sur la même trajectoire…j ai bien observé mais j avais mis le trépied et j ai eu du mal.j essaierai sans…..mais d800 plus tampon 150-600.ca fait du poids….
Merci pour toutes ces informations précieuses
Merci pour toutes ces informations.
merci
Merci, juste les conseils et renseignements que je cherchais….il ne me reste plus qu’à mettre en pratique…
Un très bon site que j’ai découvert récemment…. encore un grand merci.
Content de pouvoir t’aider !
merci beaucoup pour tous ces conseils partagés. J’adore votre site
Merci…je garde ses conseils precieusement
Bonsoir je me suis mis à la photographie depuis près de trois ans et je compte acheter un reflex ou un hybride. J’ai trouvé cet article intéressant et utile. Il va falloir que j’essaie au retour des beaux jours.
Que peut on attendre des dispositifs de photo dite 4K ?
Il semble que cela revienne à décomposer une vidéo en choisissant celles des images qui donnent satisfaction.
Les boîtiers hybrides micro 4/3 lumix à partir du G7 offrent cette fonctionnalite.
Efficace ?..
Merci de votre réponse.
Nickel super intéressant. Merci
Merci Régis,
Je vous remercie c’est clair et très bien expliqué, comme à votre habitude☺☺
Je vous lis depuis peu… je démarre la photo animalière mais je connais bien la nature
et cela m’aide aussi énormément. Pour moi, c’est d’abord la prise en mains de l’appareil … et les réglages du reflex en manuel… les conseils que vous donnez me permettent d’avancer plus vite ? profitez bien du salon !! Le salon…une prochaine fois pour moi.
christine
Pour certains boitiers, il y a une quantité astronomique de réglages de l’AF et ca vaut vraiment le coup de s’y pencher ! Comme la priorité au déclenchement, mais bien d’autres !!!
Oui clairement !! Comme par exemple demander à la prise de vue en rafale de continuer à « rafaler » 🙂 même si le point est perdu. Mais il faut fouiller dans les menus et clairement, les modes d’emploi sont assez mauvais pour ça. La solution est de passer par l’achat de livres spécialisés dans un modèle précis.
Je vais de ce pas tester la priorité au déclenchement !
top !
Merci de ces précieux conseils si simplement expliqués. Existe-t-il un livre, un blog,un site pour décrire les habitudes des animaux et oiseaux européens (nid, repas, reproduction, approches, horaires, habitudes,…). Ils ne sont pas si simples à trouver !
alors un livre exhaustif avec toute la faune européenne, je sais pas. par contre, des livres pour les mammifères, pour les oiseaux, pour les reptiles, … oui. Les Guides des éditions Delachaux et Niestlé sont très bons : http://www.delachauxetniestle.com/catalogue/zoologie/3
tres complet et pédagogique
Merci Michel 🙂
oui tres complet et pédagogique
merci beaucoup pour tous ces conseils qu’il est toujours bon de rappeler, de répéter, etc…
A bientôt.
Claudine.
la répétition est la clé ! De l’entrainement en quelque sorte 🙂
Super intéressant et très concret
Bonjour Régis,
comme toujours des conseils facile à mettre en oeuvre et compréhensible.
Grace à ces conseils entre autre la priorité au déclenchement, j’ai réussis des photos de sujet rapide « Hirondelle » que j’avais du mal à faire au paravent.
Encore Merci pour ce partage et tes cours qui son TOP.
Cette fameuse priorité au déclenchement, avant de la découvrir et de l’activer, m’a fait pester un sacré paquet de fois contre mon reflex qui ne voulait pas déclencher ! Je savais que la MAP n’était pas faite, mais je voulais quand même déclencher. Mais pas possible. A présent, c’est bon !
Bonjour,
article très intéréssant, j’applique déjà quelques uns de ces conseils par contre je vais tester la priorité à donner au déclenchement car je ne l’ai jamais fait. A essayer.
merci et à bientôt au salon de la photo
Oui, avec plaisir au salon 🙂
Comme toujours, de précieux conseils à appliquer sur le terrain.
Superbes photos, j’adore le passereau jaune (bruant zizi ?) figé dans le ciel gris.
L’oiseau est une bergeronnette flavéole 🙂
Bonsoir Régis
Tes articles sont toujours aussi pertinents, tu as résumé en quelques lignes l’essentiel, après il faut s’entraîner toujours et encore. En allemand on dit « Ubung macht des Meister » (l’entraînement et la répétition des gestes font le maître).
Ma maman dit toujours « rien ne résiste à l’entrainement ». C’est pareil ! 🙂
bonjour regis,
merci pour ton article,et tes conseils,mais je persiste sur l’aquariophilie, peut etre que nous pourrons en discuter sur le salon ou autours d’un verre
bon a plus aquariophilement regis.
a quand une escapade en amazonie, pour voir le maitre a l’oeuvre.
une belle leçon version nature t’attend la-bas !!!
hello Régis,
on en discute au salon !
Merci pour ces informations en particulier la priorité au déclencheur. Sinon, je suis content de voir qu’ empiriquement j’avais suivi la bonne méthode pour avoir une belle photo d’un colibri figé en train de butiner une fleur de bananier dans la nature. Ce que je voulais avoir depuis longtemps. Les colibris volent très rapidement de fleurs en fleurs et on ne sait pas quand. Par contre ils reviennent plusieurs fois au bout de quelques minutes. En ayant vu un, j’ai réglé l’appareil en rafale au 1/5000 car je n’avais pas en tête sa vitesse de battements d’ailes, j’ai cadré la fleur et attendu qu’ils reviennent. Avec un peu de crampes car sans trépied mais récompense au bout.
J’ai 69 ans et je me suis mis à la photo animalière il n’y a que 3 ou 4 ans d’autant plus que mon médecin ma recommandé la marche. Un vrai plaisir de découvrir le monde animal sauvage. Merci pour tes conseils qui viennent compléter mes acquis. je ne pratique pas l’affut il faudra que je m’y mette.
Cordialement.
Jacques
l’affut est top pour entrer dans l’inimité des animaux https://www.auxoisnature.com/petit-guide-de-laffut-permanent-temporaire-mobile-et-mix/
Un grand merci régis pour tout ces conseils je pense qu’il seront très utiles pour la photo et la photo animalière que je pratique aussi en amateurs et grand passionné de nature. Et je vous dit à très vite bien sur au salon de la photo à bientôt Eric…
Merci pour ces excellents conseils…
Je t’en prie Richard ! 🙂
Merci Régis, grâce à tous tes conseils j’ai bien progressé dans ma prise de vue des oiseaux mais reste encore à s’entrainer, car je souhaite réussir les piqués/plongeons de mes oiseaux pêcheurs.
ANITA
Pas le plus facile !!! Erwan Balanca vient de sortir aux éditions La salamandre son livre Martin, le pêcheur
https://catalogue.salamandre.net/martin-le-pecheur.pdt-959/
Excellent ,conseils , merci , a appliquer des que possible ☺♪♫
Merci pour ces précieux conseils
Merci a essayer d’utiliser Super conseil
Bonjour Régis
Comme d’hab. toujours de bons tuyaux .Merci encore pour ces différents partages. Voici quelques bonnes astuces à mettre en pratique. Passe un bon WK. Marc
Merci Marc toi aussi bon WE 🙂
Merci beaucoup de tous ces très bons conseils
Merci. Des conseils dormidables que je vais essayer au plus tôt
Top Michèle ! 🙂
Bonjour Régis,
Merci pour cet article court et très instructif.
J’attends avec impatience de connaître le prix pour pouvoir accéder à ta nouvelle formation.
Belle journée.
Ça arrive très vite !
Bonjour Régis et merci pour ce très intéressant article qui fait une excellente synthèse. Il ne reste plus qu’à mettre en pratique. En tous cas à bientôt au salon de Paris.
Oui je serai dispo les 5 jours
Bonjour Régis,
Je ne suis pas un photographe animalier mais j’ai toujours grand plaisir à lire tes articles très intéressant et plein d’astuces. Merci pour ton partage.
Merci Luc pour ton commentaire 🙂
Bonjour
Oui je trouve ton article intéressant et notamment le fait de donner la priorité au déclenchement. J’avais volontairement figé la mise au point je vais tester. Tu ne parle pas du réglage des ISO . Jusqu’où aller pour tenter la netteté en effet vitesse et ouverture au max il ne reste que ça. A bientôt
Tout dépend de la capacité de ton appareil à gérer la montée en ISO. Perso, je peux monter à 6400 et avec du post-traitement l’image finale reste très acceptable.
Bonjour Régis,
Depuis très longtemps, je n’utilise plus de trépieds mais un simple pied ( monopode ) télescopique ou pliable qui sert également de « bâton » de marche (si possible en aluminium (pour le poids) anodisé noir).
Quant à l’appareil, je ne le porte jamais autour du cou mais sur l’épaule (coté viseur lorsque je me déplace, coté fond de boitier lorsque je photographie, la lanière dans ce cas sera vrillée mais, assure la bonne tenue de l’appareil)
Cordialement
Pierre
Ce qui fonctionne très bien aussi c’est la poignée en tissu/caoutchouc qui permet de très bien tenir les appareils à la main
Toujours de très bons conseils et très intéressant surtout pour les débutants ! En appliquant à la lettre on ne peut que réussir c’est clair
Merci pour tes partages
Content de pouvoir t’aider Joelle
Très bons conseils, vivement les suivants !
Trés bons conseils, vivement les suivants !
Bonsoir Régis,
Ton article est vraiment très intéressant. J’ai déjà suivi tes premiers conseils pour photographier les oiseaux et je saisis beaucoup mieux les réglages et j’observe beaucoup la Nature avant tout. Tout comme toi j’apprends à reconnaître les signes d’un départ d’un oiseau pour tenter de le saisir les ailes écartées.
J’ai encore beaucoup de progrès à faire mais je vois que déjà j’en ai fait un peu par rapport aux premières photos faites. C’est encourageant.
Merci pour tes conseils. C’est vraiment très sympa.
Tes formations sont top aussi.
Nathalie
Merci Nathalie pour ton commentaire et ton témoignage ! Les signes de décollage des oiseaux sont très succints, il faut être très concentré et prêt comme au départ d’un 100 m !
Salut Régis, oui ton article va me permettre de corriger les photos loupées que j’ai tenté de faire hier. Je suis en vacances en Camargue, au pays des flamants roses. Je voulais réaliser des prises de vues en vol……toutes les photos sont soit mal cadrées, soit très peu nettes. Je voulais aussi prendre un flamant rose au départ, à l’envol, tu sais quand il court sur l’eau.
Je suis tes conseils avec sérieux et j’ai l’impression d’avoir bien progressé dans ma technique photo mais il y a encore du boulot….c’est ce qui rend la chose très addictive ! Je soumettrai à la critique du forum mes dernières photos pour confirmer la tendance.
Dès que la météo sera favorable, je met en application au mieux. L’entrainement, la pratique, y a rien de mieux. Ca aussi j’ai retenu lol.
Un grand merci pour toutes tes formations, tes articles et autres….je ne regrette pas une seconde de t’avoir fait confiance.
Au plaisir.
Denis
Salut Denis
1000 merci d’avoir pris le temps d’écrire ce long commentaire. Je suis très heureux de pouvoir t’aider dans ta progression 🙂