Photographier le renard est un sujet traité par de nombreux photographes animaliers. Certains préfèrent l’approche, d’autres l’affût. Je vous présente ici les avantages et inconvénients de ces techniques, et mon expérience sur la photographie de maître goupil.
IMPORTANT – cet article a été rédigé par Fabien Gréban. Photographe animalier professionnel, c’est lui qui s’exprime dans cet article.
I/ Connaître le sujet
Comme l’article sur comment photographier le blaireau, intéressons-nous tout d’abord aux caractéristiques du renard :
- la vie sociale du renard est complexe, il vit en clan mais ses mœurs sont essentiellement solitaires,
- le renard est un animal diurne que la pression de l’homme tend à rendre nocturne,
- le renard est carnivore. En Franche-Comté, il se nourrit principalement de campagnols. Mais il peut diversifier son régime alimentaire avec des fruits (merises) ou des insectes.
- le renard est difficile à leurrer. Rusé et méfiant, il dispose de sens très développés, notamment son odorat (capable de sentir un homme à plusieurs centaines de mètres). Son ouïe et sa vue son également très bons.
- compte tenu de la pression de la chasse sur le renard, il est très farouche (sauf de très rares exceptions).
II/ Pourquoi photographier le renard
Le renard est un très bel animal avec sa fourrure rousse et son regard de braise. Il est aussi emblématique de la faune européenne. Présent dans tous les milieux, on le rencontre aussi bien en ville, à la campagne ou en montagne.
Comme pour tous les prédateurs, les yeux du renard expriment la malice. Quiconque aura la chance de croiser son regard sera hypnotisé et voudra revivre cette expérience.
Ses sens et sa ruse en font un sujet difficile, photographier un renard est toujours une performance. Mais si la photo animalière était plus facile, sans doute nous plairait elle beaucoup moins …
[Note de Régis : je ne peux qu’être d’accord avec ça ! 🙂 ]
III/ Où photographier le renard
La plupart des animaux sauvages sont photographiés soit près de leur gîte, soit sur leur zone de nourrissage.
Je ne conseille pas de photographier un renard adulte près de son terrier. Très craintif, il est généralement aux aguets à proximité de son refuge. Et un dérangement pourra entraîner un abandon du terrier, avec tous les risques que cela implique.
Par contre, les renardeaux sont souvent beaucoup moins méfiants, il est donc possible de les photographier à proximité du terrier, généralement au début du mois de mai. Mais il faudra prendre de nombreuses précautions :
- ne jamais marcher trop près du terrier (20 ou 30m grand maximum),
- bien se camoufler pour éviter d’habituer les renardeaux à la présence humaine
- ne rien laisser sur place (affût, filet, …),
- faire des affûts courts pour limiter le risque de croiser un adulte,
- être très attentif et partir aux premiers signes de dérangements (un adulte qui remarquera votre présence poussera des cris d’alerte, dans ce cas, partir immédiatement).
Je préfère en effet photographier le renard sur ses secteurs de nourrissage. Les prairies riches en campagnols seront notamment très convoitées …
IV/ Quand photographier le renard
On peut, en théorie, photographier le renard toute l’année. Mais il est vrai que pendant la saison de la chasse, renard se montre très discret, adoptant des mœurs quasi exclusivement nocturnes.
Les périodes les plus propices, sont la saison du rut (janvier / février) et toute la période de nourrissage des jeunes (mars à juin), en effet les besoins alimentaires des renardeaux obligent les renards à plus d’activité.
La météo à bien sur une influence sur le comportement du renard. Par exemple, en hiver, les vagues de froid obligent goupil à sortir chasser en pleine journée. C’est alors l’occasion de réussir de belles images, mais il ne faut jamais oublier qu’en hiver, les animaux souffrent du froid et de la faim, il est alors nécessaire de redoubler de vigilance afin de diminuer au maximum les risques de dérangement.
Les heures de sortie du renard sont variables et dépendent de nombreux paramètres. Cependant, j’ai souvent remarqué que le renard regagne son refuge en fin de nuit ou début de matinée, après avoir chassé une bonne partie de la nuit. Mais dans les secteurs tranquilles, il pourra ressortir chasser en milieu de matinée, dans une lumière souvent plus propice à la photographie.
Il est bien connu que la saison des fenaisons est un moment privilégié pour photographier le renard. En effet, goupil parcourra les prairies recouvertes de foin, à la recherche des campagnols tués par les engins agricoles. Mais l’effet d’attraction des prairies fraîchement fauchées est éphémère, il durera 2 jours tout au plus. Il faudra donc surveiller régulièrement les prairies de fauche pendant le mois de juin.
V/ Comment photographier le renard
V.1/ Photographier le renard à l’affût
Pourquoi choisir l’affût ?
L’affût photo est sans conteste ma technique préférée. Pourtant cette technique est exigeante, et parfois éprouvante. En effet, l’affût demande un travail de repérage conséquent. Et il est nécessaire de se placer avant la sortie des animaux (donc le plus souvent de nuit), l’attente est souvent longue et le froid est beaucoup plus mordant lorsque l’on est immobile.
Cependant, l’affût à plusieurs avantages. Tout d’abord, étant bien caché avant la sortie des animaux, le risque de dérangement est faible, et l’attitude des animaux sur l’image sera plus naturelle. Mais surtout, le choix de la position de l’affût est guidé par l’espoir de réaliser une image bien précise.
Certes, on place l’affût là où l’on espère voir passer maître renard. Mais je choisis toujours la position de mes affûts en fonction du type d’image que je souhaite réaliser :
- un contre-jour délicat,
- un bokeh coloré,
- un paysage particulier.
Alors qu’à l’approche, on laisse le hasard choisir le milieu dans lequel on croisera l’animal espéré.
Comment pratiquer l’affût ?
Pour affûter le renard, je n’utilise pas de tente affût, trop imposante à mon goût, elle attire le regard. Je préfère utiliser de simples filets de camouflages, placés juste devant moi, sur mon trépied (le trépied est indispensable à l’affût), alors que je suis adossé à une haie ou à la lisière du bois. Bien sur, je porte des habits aux couleurs discrètes, sans oublier de masquer les mains et le visage.
Le renard ayant un excellent odorat, je vérifie toujours le sens du vent avant de choisir tel ou tel affût (je prépare toujours différentes positions d’affûts, me permettant de m’adapter selon le sens du vent).
V.2/ Photographier le renard à l’approche
La photo à l’approche est très plaisante. Pas besoin de rester immobile pendant des heures, on se promène le plus discrètement possible. L’idée étant de voir un animal avant que celui-ci nous repère. Pour réussir cela, plusieurs conditions sont nécessaires :
- il faut pouvoir masquer ses déplacements, une prairie avec de nombreuses haies sera idéale. Ainsi, on essaie de marcher le plus possible à couvert, en longeant une haie ou une lisière.
- Il faut pouvoir se déplacer sans bruit. Une journée venteuse sera idéale, le vent masquant nos bruits de pas. À l’inverse, les sols couverts de neige gelée ou de feuilles mortes craquantes voueront toute tentative d’approche à l’échec.
- Et bien sur, il faut marcher face au vent, pour éviter que notre odeur nous trahisse.
Une fois un renard repéré, il faut choisir rapidement. Rester où l’on est, et espérer que l’animal vienne dans notre direction, ou juger que la configuration du terrain nous permette de nous rapprocher du sujet jusqu’à bonne distance photographique.
Par expérience, je dirais qu’il faut éviter d’être trop gourmand, et laisser l’animal faire les derniers mètres dans notre direction, et ainsi éviter de se faire repérer avant même d’avoir pu déclencher une seule fois.
Quand l’herbe est rase ou le sol enneigé, je m’emporte pas de trépied, car je m’allonge sur le sol dès que je rencontre un animal. Une fois allongé, je suis plus discret, et donc moins susceptible d’être repéré à la vue. Un petit filet couvre mon télé-objectif et mes habits sont de couleur herbe (sans oublier les gants et la cagoule).
Et comme toujours, je déclenche peu, faisant particulièrement attention à la réaction du renard au bruit du déclenchement. Si celui ci ignore le bruit, je sais que je peux continuer à déclencher sans crainte de dérangement. Par contre, si le bruit du boîtier est repéré (renard tourne la tête ou les oreilles dans ma direction), je sais que je ne pourrais déclencher qu’une ou deux fois, pour éviter la fuite.
Il ne faut pas oublier que le but d’une sortie n’est pas de ramener une image à tout prix, mais bien de se faire plaisir. Et déranger un animal sauvage n’est pas très plaisant …
V.3/ Réglage du boîtier pour photographier le renard
Comme presque toujours, je travaille avec le mode priorité à l’ouverture. Celle-ci sera grande (f/4) quand je souhaite avoir une faible profondeur de champ et donc avoir un premier plan et un arrière plan flou.
Attention cependant à la très faible profondeur de champ quand le sujet sera très proche de vous (moins de 10m), dans ce cas, je ferme le diaphragme pour avoir l’ensemble de la tête du renard nette (f/8).
Je règle ensuite les iso, de manière à avoir une vitesse suffisante (1/200 s sera faible et possible si le renard est immobile, 1/500 s sera bien mais insuffisant si le renard est proche et en déplacement rapide, 1/1000 s sera parfait).
Le renard étant le plus souvent en mouvement, je préfère l’auto-focus continue (AF-C ou AI-SERVO selon les marques), en utilisant les collimateurs latéraux pour composer mon image et éviter de centrer mon sujet.
VI/ Étudier les travaux d’autres photographes
Comment parler de photo de renard sans évoquer les images de Fabrice Cahez, et ses ouvrages comme le superbe « terre de renard ». Un must have, sans aucun doute.
Mais de nombreux autres photographes ont également déjà travaillé avec talent sur le renard, on peut citer par exemple Franco Limosani, et Teddy Bracard.
[Note de Régis : pour en savoir plus sur ces photographes, leurs techniques, astuces et univers respectifs, je vous en encourage à écouter les interviews que j’ai faites de Fabrice Cahez en cliquant ici et de Teddy Bracard en cliquant là.]
Retrouvez également mes autres images de renard sur mon site web, Jura sauvage photographies.
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Bonjour, j’habite en montagne et tous les soirs je promène mez chiens dans un champs… Ça fait quelques fois qu’un renard curieux s’approche de nous et un de mez chiens joue avec lui en courant dans le champs d’à côté… Auriez vous une explication ?
Cela peut être un renard qui a l’habitude de la compagnie humaine , de base très méfiant , vous avez de la chance. Il faut le laisser venir et ne pas l’effrayer. De plus vos chiens ont l’air pacifique avec lui ce qui est très positif pour vos observations.
Bonjour j’ai trouver un terrier avec ma cameras piege j’ai pu voir le mâle par contre je n’est aucune distance pour pouvoir les observer. Le terrier et au milieu de 3 butes dans la cuvette du coup j’avais pensé poser ma cameras à proximité du terrier, quand pensez-vous.
Bonjour
J ai suivi assez fidèlement le guide pour photographier le renard.
J ai donc suivi avec une camera de chasse une famille avec 2 renardeaux.
Malheureusement à ma 1ère séance photo le bruit de mon boîtier photo au déclenchement a inquièté la mère et ils ont déménagé. Je précise qu’il ne m ont pas vu.
Je connais une quinzaine de terriers a proximité mais ils n ont pas l être d être habité
Dans ce cas avec des renardeaux encore petits est ce qu ils déménagent très loin ?
Très bonnes explication pour observer et photographier le renard. Et photos magnifiques Le renard reste un animal assez difficile à voir et encore plus difficile à observer longtemps. (Pour ma part moins difficile à voir que le blaireau mais plus difficile que le chevreuil )Une autre technique pour voir des renards est, au printemps, si on a la chance d’observer une chevrette qui vient de mettre bas, d’observer son comportement. Si vous voyez une chevrette un peu nerveuse, fixant un point ailleurs que dans votre direction, il se peut qu’il y ait un renard pas loin. Qui tourne autour espérant manger un faon sans surveillance. Avec un peu de chances vous pouvez même assister à des scènes où la chevrette pourchasse le renard.
Très bel article qui va me permettre de tenter mes premiers pas dès que j aurai mon objectif adapté..
J hésite entre le 300mm f4 vr (le nouveaux ) ou le 200- 500mm f5.6 vr de chez Nikon tous les deux (j ai pour boîtier un nikon hybride pleon format z6). Sachant que je voudrais aussi faite des photos d oiseaux, ragondins et cerfs , lequel me conseilleriez vous ?
Je te conseille le 200_500mm f5.6, même si le piquet est un peu moins bon, tu pourras effectuer le cadrage voulu, je trouve ça beaucoup mieu !
Merci beaucoup pour toutes ces informations et le partage d’un belle passion.
Personnellement je me méfie beaucoup des affûts sur les prés fauchés en début d’été, pour cause de sécurité. Je me suis retrouvé un soir fasse à un « nemerod » qui affûtait le renard mais avec une carabine, j’ai soupçonné sa présence après avoir entendu une déflagration toute proche, je peux vous dire que cela vous refroidi d’aller faire des affûts. Ou est la sécurité dans nos campagnes lorsque le soir tombe. Brrr. Apres avoir fait une petite enquête discrète j’ai appris qu’ils étaient nombreux à pratiquer ce massacre, quand y arrêtera t’on ?…
.
Ça fait froid dans le dos ! L être humain devient fou ?
L’Humain ne devient pas fou, il l’a malheureusement toujours été.. 😕😕
Merci pour ces infos et ce partagé
une superbe lecture sur la façon de faire pour photographier le renard. le plus dur reste à faire : le terrain. Merci pour ce partage.. Marc
C’est super complet,exactement ce que je cherchais !
En espérant que mes investigations mènent vers quelque chose.
Merci Régis !
[…] tous les bipèdes de la terre utilisent uniquement des repères visuels, les renards, les chats sauvages, les blaireaux et tous ceux qui ont un odorat de dingue, se déplacent à […]
[…] ? Trouver en moins de deux heures des terriers de renards près de chez moi (pour info, j’habite dans une zone résidentielle avec beaucoup de maisons, […]
[…] vous avez envie de photographier le renard, ou juste de le voir, en vrai, la toute dernière formation que j’ai mise dans mon Académie […]
[…] tout ça dans la Photo Animalière Académie. Avec notamment une technique hyper simple pour repérer un renard. Vraiment bête comme truc ! Mais il faut y penser … et oser le faire (très possible que vous […]
Bonjour,
j’ai enfin réussi à prendre en photo un de ces renardeaux, très difficile car il bouge sans arrêt
donc je l’ai pris au 35mm (50 en aps c) à iso 2500,
ouverture f 1.8 c’est pas terrible mais bon je débute
dommage que je ne peux pas vous joindre une photo.j’aurai bien aimé quelques conseils
merci
ps: photo prise à minuit et demi pour la petite histoire
bonjour et merci pour la réponse, je me doutais un peu que le flasch n’était pas une bonne solution, je n’ai tjrs pas réussi à les photographier car ils bougent beaucoup .Comme ils sont proches et pas farouches ( ils ne connaissent pas encore l’homme) et que le seule lumière est un réverbère à ampoule jaune je vais essayer avec mon 35mm (50mm sur mon d500) à 1.8 et je verrais bien. Je rappelle que je les vois vers minuit
à plus et merci
Bonjour, il y a quelques jours je me suis retrouvé nez à nez avec deux renardeaux devant chez moi ( j’habite en lisiere de bois) vers 1 h du matin
pas farouche du tout ils étaient à 1 mètre de moi, j’ai fais quelques clichés complètement raté ( pas assez de lumière-iso trop haute vitesse trop basse) je me suis dis qu’avec un flasch cela aurait pu le faire
quel type de flach me conseillerez vous sachant que je possède un nikon d500 sur 1 objectif 300 mm f4 ou 18-105
ps je démarre dans la photo animaliere, je suis un jeune …..retraité
merci pour votre aide
Pas de flash en animalier. Tu risquerais de les faire fuir. Un boitier correct, un objectif style f4, f2.8 c’est très bien, une bonne programmation et c’est parti 🙂
Bonjours bravo pour cette article.
J’ai tout de même une petite question ????
Le renard est il présent partout en France?
je suis déçu de cette fiche car tu ne parle pas des repérages avant de placer l’affût
Bonjour,
Le repérage c’est le travail essentiel pour faire de la photo animalière, ce travail en amont c’est >80% dans la réussite d’une photo.
Il faut être méticuleux et patient.
Le renard est un mammifère discret et très farouche, pas facile de le voir.
Il te repère et détecte ta présence sans que toi tu l’aies deviné, et à la moindre alerte il s’est déjà échappé.
Il a un odorat et une ouïe super, hyper développés. Il est fort probable qu’il te sente à des centaines de mètres et qu’il t’entende venir.
Si tu as repéré un coin à renard , habitue-le à tes odeurs, laisse sur place quelque chose qui t’appartienne pendant quelque temps, sans y retourner pendant plusieurs jours.
Il est aussi rusé et surtout très méfiant, un nouveau truc dans son univers le met sur ses gardes.
Il arrive souvent qu’une mère renarde, change de tanière avec ses petits, même très jeunes si quelque chose la dérange près du terrier.
Les renards ont des terriers « refuges »occasionnels moins profonds que le principal et c’est là qu’il va se nicher lorsqu’il est inquiété.
Le renard est un canidé qui ne sort pratiquement qu’à la nuit, en ce moment elle tombe tôt.
Tu as plus de chance de pouvoir l’observer lorsqu’il y a de la neige. Et au printemps lorsque la mère s’affaire pour les petits, car elle est obligée de sortir en journée pour les nourrir.
Pour confirmer sa présence, tu peux utiliser un piège photo.
Cela est très utile, pour savoir quels sont les animaux qui fréquentent tels ou tels coins et à quelle heure.
Superbe article bravo Fabien !
Bonjour, merci pour tous ces articles très complets ! une petite question pour notre ami Goupil: puis-je m’installer sur un trépied et assise à l’affût dans une prairie où il vient muloter où vaut-il mieux s’installer en position allongé (mais le problème étant que le stabilisateur monopode de mon appareil photo ne sera pas réglé à bonne hauteur et à main levée le rendu est flou!!!) Merci, bonne continuation, à bientôt!
Bonjour Manon,
si tu peux te cacher dans un bosquet, tu peux bien sur être assise avec un trépied. Ce sera plus confortable d’attendre dans cette position.
Fabien
Merci, je vais tester cela ce soir!
Très bon article et conseils, et bien sur, de superbes photos. Merci à vous les photographes ! je vois tous les jours des animaux sauvages lors de mes balades, et le renard est tellement sur ses gardes, qu’il a détalé lorsque mon estomac a « gargouillé » ^^! J’ai encore du mal avec mon Nikon D3000, objectif 70-300mm, (reçu en cadeau), mais je crois que c’est déjà bien pour « s’amuser » ! Je fais surtout de l’approche, je marche beaucoup. J’ai réussi de belles photos, mais c’était surtout des coups de « bol », car je me rend compte que je suis toujours resté dans mes « petites bases » et que je suis souvent déçue parce que je ne sais pas utiliser le potentiel de mon apn ! du coup, je me rabat sur les paysages (en hauteur, la vue sur la chaîne des Alpes est toujours magnifique^^), la nature, la macro. Beaucoup me disent que j’ai l’oeil, que mes photos « racontent » et dégagent quelque chose, mais je pense que je vais surtout m’intéresser pour faire un « bon cours » photo, et je m’instruit avec vous les pro, vos sites sont super ! j’espère pouvoir un jour créer le mien, juste pour le fun et les amis !
Salut Lara, merci pour ton commentaire, c’est sympa. Je ne sais pas où tu habites mais si tu n’es pas trop loin du Jura, je te conseille vivement les stages de Fabien. Le must pour apprendre à photographier le renard.
Merci Régis pour le retour, et en fait, j’ai regardé, il y a quelques jours pour passer un moment avec Laurent Geslin, j’attend avec impatience !
Merci beaucoup pour tes conseils précieux. Nous photographions souvent le renard sur l’Aubrac, surtout en ces périodes de fin de neige où il est encore facile de le repérer, même de loin.
Merci vraiment pour cet article, j’espère cette année faire de très belles photos de renards!
Bonjour Régis, Fabien,
Merci à tous les deux pour cet article très intéressant et bien écrit !
Je commence à m’intéresser de près à cet animal, il ne reste plus qu’à compléter mes connaissances 🙂
Espérons que je réussisse à en trouver pour les admirer (sans les déranger bien sûr ;))
A bientôt pour un nouvel article !
Un nouvel article très bien fait et qui donne envie de se lancer.
Bravo et merci
J’ai eu la chance de passer 3 jours avec toi en Juin et à travers cet article, je voulais te remercier pour tout ce que tu m’as apporté, ta sincérité, ton engagement, ton transfert d’experience et surtout ton approche sur les différents sujets évoqués ensemble.
Certe j’ai loupé le renard, mais j’ai eu le pic-vert… et bien d’autres choses….
J’attends avec impatience ton nouvel opus en prépa.
Encore merci.
Bien à toi,
Didier
Merci Beaucoup Didier. Au plaisir.
Bonsoir Fabien, Génial…Superbe… Magnifique… tu as pratiquement tout raconté sur Maître Renard… les approches… le camouflage… l’exposition et la prise de vue… tout est très bien expliqué… BRAVO !!!
Merci Philippe
Bravo Fabien pour cet article complet 🙂
Merci Johan
Merci pour ce guide. J’ai eu l’occasion de rencontrer Franco Limosani il y a quelques années, quasiment au commencement; un vrai passionné qui n’hésite pas à partager son expérience. Son dernier ouvrage est juste magnifique.
Oui, j’aime beaucoup aussi, je dois le contacter pour l’interviewer.
encore un dossier au top, Fabien tu n’as plus qu’à me réserver un renard pour mettre tes conseils en application la semaine prochaine ! 😉
hermines, renards et chats t’attendent Laurence ….
merci Fabien, hermine renard et chat étaient tous bien au rendez-vous !
Très beau sujet. Ben traité et détaillé;
Ca donne vraiment
Merci
Merci Fred ! 🙂 Fabien ecrit très bien en plus de faire des photos magnifiques ! 🙂