C’est quoi ça ?Ca ? C’est La Boite à Photos ! Un joli nom et un magnifique logo (créé par Laurent Vaissade) pour le rendez-vous désormais incontournable dans le monde de la photographie. A quoi ça sert, comment ça marche ?Ca sert à donner encore plus à tous ceux qui aiment la photo … vous ! Imaginez les meilleurs blogueurs de la blogosphère photo francophone se réunissant dans une boite à photos avec un sujet commun : ça donne un carnaval d’articles !! sur un sujet unique avec autant de sensibilités et d’approches différentes. Un véritable feu d’artifice 🙂 On parle de quoi ?Cette 3ème édition aborde le thème … Avant de déclencher Comment lire les articles des autres blogueurs ?Pour cette 3ème édition, La Boite à Photos pose ses valises chez Aymeric Gobert – le tiroir du photographe : retrouvez l’ensemble des blogueurs participants en cliquant sur le lien suivant : Boite à Photos – Avant de déclencher Pour ne rien manquer de tous les excellents articles et partir sereinement en vacances, une seule chose à faire : Suivre @LaBoiteAPhotos
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Pour commencer
Il n’y a pas 36 façons de photographier les animaux : en affût (fixe ou mobile, peu importe) ou en billebaude.
Pour les besoins scientifiques de cet article, je mettrai de coté l’option n°1, à savoir la technique de l’affût. Reste donc la billebaude. C’est cette technique qui fera l’objet d’une étude scientifique poussée, vous allez voir pourquoi.
Avant d’aller plus loin, un petit rappel s’impose : Qu’est-ce que la billebaude ? Ceux qui savent, passez au paragraphe suivant. La billebaude est, d’après le Cédric Girard illustré, « une technique photographique consistant, au cours d’une randonnée ou d’une promenade en milieu naturel, à réaliser des approches et/ou de courts affûts au gré de ses rencontres. » Autrement dit, le photographe billebaudeur marche, marche encore et encore, ne fait que marcher, jusqu’à tomber nez à nez avec un animal bien gentil qui voudra bien se laisser tirer le portrait. Ca parait simple non ?
MAIS NON ! Avez-vous remarqué que marcher en pleine nature c’est … difficile ! Oh si, c’est difficile ! Quand je parle de pleine nature, je veux dire la vraie pleine nature, pas le chemin balisé tout beau tout neuf. Car hors des sentiers battus, il faudra aussi crapahuter, arpenter, sauter, grimper, se faufiler, ramper, quatrepatter, trottiner … en portant parfois plusieurs kilos de matériel photo.
Problème pour le photographe animalier en billebaude
Alors j’en viens à mon problème pour le photographe animalier billebaudeur. A force d’avancer comme il le fait, que lui arrive-t-il ? … Non, il ne s’endort pas. Non, il ne rencontre pas une maman ours affamée. Il ne trouve pas un trésor non plus ! Il s’essoufle ! Il en chie quoi !! Le problème est précisément là : la hausse du rythme cardio-ventilatoire dû à l’effort. Bien dit non ? 🙂
Le coeur bat vite et fort, le souffle est rapide et puissant : nous voilà en présence des deux ennemis jurés de la sacro-sainte stabilité chère au photographe animalier. Pourquoi diable la stabilité est-elle si précieuse ? Parce que le photographe animalier utilise des longues focales tout simplement. Et qu’avec de tels télé-objectifs, la moindre vibration peut donner un flou de bougé rédhibitoire pour l’image finale.
Je résume donc tout ça, parce que j’aime bien résumer : en mode billebaudeur, Régis M, photographe motivé, avance en plein nature tout en prenant garde de ne pas déranger la faune sur plusieurs centaines de mètres, voire kilomètres parfois. En présence d’un animal, Régis M s’arrête pour shooter le dit animal. Il est essoufflé, son coeur bat vite et sa cage thoracique monte, descend, monte descend, à un rythme très soutenu. Avec son 500 mm, Régis M ne parvient pas à monter sa vitesse au delà de 1/180 car la nuit tombe. Les photos qu’il aura prises manqueront toutes de piqué. En cause, les tremblements et les vibrations dues à l’augmentation du rythme cardio-ventilatoire de Régis M.
Pas facile la vie de photographe animalier je vous dis !
Un peu avant de déclencher
En billebaude, après de longs efforts, le photographe n’aura qu’un seul but en tête avant de déclencher : être très stable pour générer et transmettre le moins de vibrations possibles au boitier. Comment faire ?
- se caler : contre un arbre, contre un gros piquet, contre le cul d’une vache (évitez les taureaux 🙂 ) tout est bon pour prendre appui sur du costaud et détendre ses muscles.
- maitriser son rythme cardiaque : il ne s’agit pas de faire baisser le nombre de ses pulsations par minute en quelques secondes : seuls des sportifs de très haut niveau y parviennent et de toute façon, cela a assez peu d’impact sur la stabilité (lire cette étude médicale sur le tir en biathlon). N’allez donc pas passer des heures en yoga et autres techniques de relaxation pour devenir capable de réduire vos pulsations cardiaques sur commande. Sachez quand même que les tireurs d’élites, oui, oui, les James Bond et compagnie, déclenchent leurs tirs lors de la diastole ventriculaire. Gné ?? En gros, ils tirent entre deux battements cardiaques pour limiter « les effets vibratoires des battements cardiaques qui dégradent la stabilité du tireur » (source : étude médicale citée plus haut). Alors s’il fallait s’en inspirer, entrainez-vous à déclencher entre deux battements de coeur.
- maîtriser sa respiration : c’est là, mesdames et messieurs, que vous allez réellement favoriser votre stabilité corporelle avant de déclencher. La clé du secret est la suivante : pour maitriser son rythme respiratoire, il suffit de prendre conscience de sa propre respiration. C’est con hein ? Je m’explique : la respiration est un acte inconscient qui se fait automatiquement, pas besoin de penser à respirer. Dit en passant, c’est mieux ainsi pour pour moi et ma tête de linotte ! Donc, si la respiration s’exécute inconsciemment, le simple fait de faire attention à celle-ci permet d’en prendre le contrôle.
Alors que signifie faire attention à sa respiration ? C’est être attentif au passage de l’air dans votre bouche et vos narines. Faites le, maintenant, au repos, juste pour voir pendant 30 secondes : sentez le frais de l’air qui entre dans la bouche. C’est tout !
Et lorsque vous serez sur le terrain, le souffle court et le palpitant à fond, vous ferez la même chose appuyé contre votre arbre : sentir l’air frais entrant dans vos poumons.
Juste avant de déclencher
Nous y sommes, c’est le moment fatidique de la prise de vue suite à une longue marche éprouvante.
Voici la démarche à adopter si vous voulez :
- supprimer tout tremblement juste avant et pendant le déclenchement
- être le plus stable possible et éviter tout flou de bougé
- obtenir une coordination parfaite entre respiration et déclenchement.
1- Votre corps est bien calé contre un appui dur
2- Vos bras sont bien le long du corps, muscles détendus
3- Prenez conscience de votre respiration : inspirez et expirez à fond plusieurs fois en sentant l’air entrer et sortir
4- Prenez votre reflex et amenez le à hauteur de front, en inspirant : le boitier est donc au-dessus des yeux
5- Abaissez l’appareil doucement jusqu’aux yeux, en relâchant progressivement l’air des poumons
6- Une fois l’expiration faite et le reflex en position, marquez exagérément la pause respiratoire naturelle.
Vous pouvez tenir cette pause, cette apnée, 3 à 4 secondes, juste le temps de décontracter vos muscles et déclencher. Au delà, de ces quelques secondes, vous allez vous asphyxier, vous deviendrez tout bleu et surtout vos muscles vont se raidir et perdre en stabilité. Ceux qui pensent avoir la solution en stoppant leur respiration au delà de la minute vont au devant de grands dangers ! Bah oui, le corps humain est ainsi fait, en tout cas pour moi : il nous faut maintenir un apport en oxygène suffisant après un effort si on ne veut pas tomber raide mort au milieu des lapins.
Le truc à savoir qui fait la dif‘ : en chassant l’air des poumons, votre centre de gravité s’abaisse et votre stabilité augmente !
Alors, merci qui ? 🙂
Mettre en pratique les conseilles me semble judicieux
Article très intéressent .Il ne me reste plus qu’a la mettre en pratique. Merci
Je sens comme une pointe d’ironie dans ta réponse,
il est interdit de se moquer d’une pauvre petite crevette grise très émotive ;
j’ai raté un nombre incalculable de photos à cause de la surprise d’un oiseau (ou autre « petite bête) tout proche et du manque de maîtrise du bougé ; merci pour tous ces conseils précieux !
Absolument pas ! Il n’y a aucune ironie dans ma voix, enfin dans mon commentaire 😉
et quand on a les mains qui tremblent c’est quoi la solution ???
Si c’est que les mains, ça n’est pas grave ! Tu rapproches le plus possible tes coudes vers ton corps, jusqu’à le toucher, comme ça ton ensemble coude+mains+boitier est solidaire de ton corps qui lui ne tremble pas !
Salut à tous
Bravo Régis pour ton article que je viens de découvrir. Je rentre de Chine et j’ai parcouru en diagonale, dès que je récupère du décalage je vais voir ça de plus près. Ca fait plaisir de vous relire.
Cordialement Jeff
Ca me fait plaisir aussi de vous retrouver 🙂
bonjour! que du bonheur de lire tes articles, qui sont d’une simplicités jusqu’a avoir le sourire avec tes comparaisons!
franchement « BRAVO »
tchuuus
BEA
Merci Béa, c’est gentil tout plein !
J’avoue que je m’amuse aussi quand j’écris … et puis c’est pas tellement dur, j’ai juste à me rappeler mes sorties, et ça vient tout seul … surtout quand j’ai le coeur au fond de la gorge 🙂
slt Régis
bon sang que c’est facile a faire!!!!!, lundi dernier « chasse » au cerfs, après une bonne journée de travail , crapahut avec un bon dénivelé a travers bois, une langue qui traine par terre, tout mon sang dans la tête, les oreilles chauffent,les toiles d’araignées plein les cheveux,de la buée sur les carreaux ,un seul but ………trouver un sentier pour marcher relaxe et se reposer, les zannimaux m’en fout.Et puis je ne suis pas venu pour rien, il ya des vaches dans un près,clic dans la boite, plus loin des bruits de branches cassées et une fuite dans les taillis??? dans la vallée 2 chevreuils « a table » dans un champ distance 150m obj 150/500 clic dans la boite, a genoux contre un arbre le souffle court et …..flou de bougé,reprise du calme et chevreuils partis, bouhouhou ,pas grave continuons, a 300m en haut d’une cote, la langue trainante au sol, je tombe nez a nez avec 2 jeunes cerfs là , manque de reflex de toute manière ils étaient trop gros pour ma boîte, 21h00 fin de la billebaude avec 2 biches qui se détachaient sur le clair du ciel mais la nuit état déjà là , je n’avais plus chaud et je ne tremblais plus j’étais ZEN
merci pour ton article , je vais essayer de descendre mon centre de gravité .
Quel aventure ! J’étais complètement avec toi à la lecture de ton commentaire. Quasiment essouflé aussi !
Merci pour le partage, ça valait le coup 🙂
Bravo pour cet article.
J’essaierai de mettre en pratique ces conseils… mais j’avoue que depuis quelques temps, je ne pars plus en billebaude sans le monopode, voire même le trépied. Je maîtrise tant bien que mal la prise de vue à main levée avec mon 300mm non stabilisé, mais avec le TC monté, le taux de déchets est trop important pour que je me passe d’un tel appui (surtout quand je shoote accroupi dans les hautes herbes… Position trop instable).
Faudrait que je diminue ma consommation quotidienne de café, pour voir si ça change qq chose 😉
Perso, j’aime bien juste avoir que l’appareil, ma paire de jumelle et mon petit sac à dos, lorsque je suis en billebaude. J’aime en fait avoir l’impression d’être en rando-photo … il finalement parfois oublié que je suis en sortie photo ! Quand tu as un monopode, et pire un trépied, tu te sens obligé de prendre des photos.
Bravo pour cet article, encore une fois passionnant.
J’oserai me permettre un petit « complément » vous siter le biathlon pour la technique de respiration, il faudrait aussi prendre exemple sur leur position pour éviter le bougé , elle n’est pas si éloignée que ça de la position d’un photographe, et je vous promets (je vois regulierement des tireurs debout) il ne bouge quasiment pas.
Exact, merci pour l’avoir signalé. J’ai remarqué également pour en avoir vu à la télé qu’ils ont une façon de se déhancher, une espèce de bascule de la hanche qui leur permet d’avoir une remarquable stabilité. Je ne suis pas spécialiste, alors s’il y en a …
Le déhanchement est fait pour appuyer la partie supérieur du bras contre le corps et permet de mettre le coude dans le espèce de creux formé en dessus de la hanche, comme ça le poids de l’appareil et l’objectif et transmis directement au bassin d’où une meilleure stabilité, plus l’objectif est lourd meilleure sera la stabilité, l’autre point important et d’écarter un peu les jambes afin d’avoir une bonne assise. J’espère de n’avoir pas trop compliqué les explications
Absolument pas : explication très claires ! D’ailleurs, à peine fini d’écrire ce message que je m’y essaie de suite. Faudra juste que j’explique pourquoi je me déhanche comme ça à mon épouse 🙂
Achetez un monopod a 60 euros aidera enormement aussi!
Salut Adil,
oui, c’est vrai que ça peut-être utile. Mais ça fait toujours un truc en plus à acheter et à transporter ! 😉
C’est bien vrai régis et puis 60 euros plus 60 euros… on arrive vite à des prix assez démantiels… et puis le transport en effet c’est quelque chose à prendre en compte 😉
Hallo, encore un excellent article ! On reconnait dans tous ces conseils , les attitudes et techniques du tir sportif ( cible ) la stabilité, la respiration, le flou de l’œil, le temps de blocage de la respiration a ne pas dépasser avant que la vision se troubler! Pour la billebaude il y a un site qui peut aider pour retrouver la présence de quelques espèces d’oiseaux « http://www.oiseaux-cote-dor.org/index.php?m_id=4&sp_DOffset=2 » . Allez merci encore et j’attends avec impatience le prochain sujet!
Salut Richard,
merci pour ton message sympa et surtout pour ton lien. Je l’ai mis dans mes favoris. A bientôt !
Bonjour Régis, pour moi citadine, j’apprends à écouter le silence… Ces conseils sont très instructifs car l’émotion est tellement vive lorsque l’on a la chance de pouvoir déclencher un mammifère à portée de vue, le coeur bat la chamade et les premières photos sont ratées… Je connais bien ces sensations… car la billebaude pour moi a commencé dans mon jardin… et oui…. Donc ce sont des expériences que je vis souvent … et j’ai maîtrisé au fur et à mesure mes émotions une fois que le chevreuil est passé près de moi…. j’ai pris une grande inspiration, j’ai modulé ma respiration, j’ai attendu que les battements de mon coeur reviennent à une constance, j’ai repris mon boîtier en main et j’ai déclenché… Merci pour cette observation, je vais continuer à faire du yoga, ou de la sophrologie….Muriel
Hello Muriel,
tu as très bien fait de parler de l’émotion ressentie par le photographe lorsqu’il se trouve à proximité d’un animal : on peut ne pas être essouflé par l’effort mais l’être par l’emotion : genre on se sent tout chose comme la rencontre avec son amoureuse.
C’est un manque dans mon article ou je me suis concentré sur les battements du coeur liés à l’effort fourni et j’ai oublié de parler de la hausse du palpitant à cause de l’émotion. Pourtant, je suis le premier à ressentir tous ses symptomes à la première oreille de lapin entrevue !
Prendre conscience de sa respiration marche aussi très bien dans ses moments.
Merci Muriel !
bonjour
tout comme régis LELELU je suis en Amérique du sud (Guyane) et la billebaude dans certaines conditions entre la chaleur, la pluie, les moustiques, taons, et autre cochonneries ne rend pas facile la prise de vue. Buée sur le viseur etc, J’ai d’ailleurs souvent des soucis de MAP avec l’AF pour les prises de vues de singes, d’oiseaux dans les arbres touffus. Dur dur de garder un bon appui et d’avoir une bonne stabilité au moment du déclenchement.
Pour les anacondas pas facile à voir dans la nature, je vois malheureusement beaucoup de serpents morts au bord des routes beaucoup plus rarement vivant dans la nature. Mais j’ai la chance de voir pas mal d’animaux sauvages quand même dans leur milieu.
Triste tout ça 🙁 Alors y a pas que chez nous que les animaux sauvages subissent la triste loi de la route.
Merci pour ton passage Serge 🙂
[…] Avant de déclencher […]
Très bon article.
Les mêmes difficultés guettent le photographe en macro-photo.
Il peut arriver, effectivement, si on est pas conscient de sa respiration, de bloquer sa respiration pour saisir une abeille butinant (en bague macro + petit télé)… la bêbête tarde à prendre la bonne pose… et le photographe oublie un peu de respirer et devient légèrement parkinsonien !
Respirer par le ventre augmente la stabilité également, notamment en prise de vue vidéo.
Patrick.
J’aime bien le coté parkinsonien du photographe macro. J’imagine la scène : les fesses en l’air, la tête dans l’herbe, le visage tout bleu et le tout qui tremble comme une feuille ! Faut respirer ami macroteur 🙂
Bien vu Patrick pour la respiration par le ventre, en préparant l’article, j’ai lu quelques études liées au biathlon et effectivement, la respiration par le ventre est une solution avancée pour gagner en stabilité.
C’est bon de te revoir parmis nous je commencer à m’inquieter 😉 très bon article!
T’inquiète Nathou, je vais pas vous lâcher comme ça !! 🙂
Exact!!!! « declancher le tir lors de la diastole ventriculaire »
Merci Régis pour ces conseils qui ne peuvent que être utiles, en toutes circonstances !
Je m’en vais jouer aux apprentis James Bond….
Aymeric
Tu veux jouer aux James Bond pour apprendre à être stable en photo ou pour dénicher une James Bond girl au coin du bois ? 🙂
bonjour a vous,
quelques conseils avant de partir nous font le plus grand bien. billebaude au milieu des jacarés,piranas et autres anacondas,et bestioles en tous genres,d’autant que le poisson n’attend pas toujours pour prendre la pose!!!. et puis rester a attendre les moustiques de tous poils. amazonie oblige ;la barre est un peu plus haute a chaque expédition.
a plus aquariophilement régis.
ps et encore bravo pour le site.
Salut Régis (quel beau prénom 🙂 )
avec des noms d’espèces pareils, en te lisant je suis déjà un peu avec toi ! Fais quand même gaffe : les anacondas je crois que c’est pas trop sympa non ?
Merci, merci! j’applique tout de suite pour ne pas finir au milieu des lapins flous!
Oui, surtout en cette fin septembre avec nos amis 🙁 les chasseurs : faut surtout pas rester trop longtemps au milieu des pauvres lapins !
Bravo, bon article, comme tous vos articles.
Cependant une question: » En « billebaude » pourquoi avoir un sac avec « plein » de matériel? »
Est-on obligé de se promener hors des chemins battus avec tout son matériel photographique?
Si une photo nécessitant un autre objectif se présente il me semble que le temps d’en changer l’animal vous aura senti et sera parti! Non ??
Oui, tu as raison, partir en billebaude demande d’être le plus léger possible et donc d’optimiser, de choisir ce que l’on emporte.
Pas trop de poids, pas trop d’encombrement, limiter son matériel au strict nécessaire est essentiel pour la photo à l’approche : ensemble reflex+téléobjectif et jumelles
Cependant, on doit quand même transporter certains accessoires : un ou deux objectifs, au cas où pour paysage et/ou macro, boisson, barre céréale, trépied si arrêt vraiment prolongé, …
Le tout peut vite aller vers les 3, 4 ou 5 kilos.
Bonjour,
Un grand merci pour cet article très bien écrit et très instructif…
Bravo d’ailleurs pour ce blog!
Continuez ainsi
Merci, c’est gentil Thomas 🙂
A bientôt !