Au sommaire de ce 51ème épisode
Voici ce que vous apprendrez en compagnie du photographe animalier Séverin Rochet. Cliquez sur le temps entre crochets pour accéder directement à la partie qui vous intéresse.
- [1:43] Biographie de Séverin Rochet
- [5:33] La matériel photo qu’il utilise
- [7:10] Quel importance accorde-t-il à son reflex ?
- [10:40] Où photographie-t-il ?
- [12:18] Quels animaux photographie-t-il ?
- [15:02] Quelle est la photo animalière qui a le plus marquée Séverin
- [21:47] Est-ce que la photo animalière peut faire baisser le stress ?
- [26:34] Qu’est-ce que l’hypno-analgésie
- [28:20] En quoi une photo d’animal sauvage peut aider un patient ?
- [38:49] Où voir les photos et le travail de Séverin ?
Repères cités dans cet épisode
- Le site internet de Séverin Rochet
- Sa page Facebook
- Les magnifiques galeries photos de Séverin
- Le concept des boites lumineuses utilisées par Séverin
- Ses anecdotes racontées liées à ses photographies animalières
- Le site internet du photographe animalier Fabien Bruggmann
L’invité
Dans cet épisode je reçois le photographe animalier Séverin Rochet avec qui on va parler d’un sujet que je ne pensais pas un jour pouvoir aborder sur le blog. Il s’agit de l’hypno analgésie. Alors surtout restez bien à l’écoute et ne partez pas car évidement, on va avant tout et surtout parler de photographie animalière mais sous un angle original.
Alors qui est Séverin Rochet … et bien une fois n’est pas coutume, il n’est pas photographe pro, son métier est chirurgien orthopédique. Il est devenu photographe animalier en 2011 et c’est très rapidement devenu pour lui une passion addictive.
Il accorde beaucoup d’importance à ce que ses photos fassent rêver les gens, qu’elles leurs permettent de s’évader et de se poser 1000 questions sur l’animal qu’ils contemplent, bref, de raconter une histoire. Et c’est précisément grâce à ses magnifiques photos de renard ou d’hermines notamment qu’il aide certains de ses patients à surmonter la douleur.
Vous allez découvrir comment Séverin s’y prend pour réussir à faire des photos d’animaux sauvages aux vertus insoupçonnées.
Et pour compléter l’interview, voici un reportage sur Séverin et ses photos exposées au CHU où il travaille.
Reportage de S. Bourgeot, JS Maurice, A. Sow et S. Chevallier diffusé sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté
Ok mais le petit amateur que je suis avec ma petite retraite comment fait il pour se payer un tel Matos ?
Bonjour Régis,
Que ça fait du bien, que c’est motivant et rassurant d’entendre tout ses interviews et en particulier celui là. Une analyse du monde d’aujourd’hui (ses mauvais côté et ses mentalité d’hyper consommation ou on veut tout tout de suite) et le bien être que procure cette passion de la nature sous différentes formes, photographique et médical. Après vous avoir écouté, on se dit que ça devrait même être rembourser par la sécurité sociale.
Merci à toi Régis pour tes podcasts et surtout continu on en a besoin.
Qu’est ce que c’est sympa Didier !!! Merci beaucoup ! 🙂 Ça me touche 🙂
Je ne compte pas arrêter mes podcast, d’autres sont déjà enregistrés 🙂 Et pour la sécu … ça peut être un bon moyen de financer mon émission ça ! 🙂
A très bientôt et merci encore.
Je ne connaissais pas cette pratique dans le milieu médical, c’est vraiment bien ! Bravo !
Juste sur le passage « pour des chasseurs, ils préféreraient des animaux morts » : je ne suis pas du tout convaincue ! 🙂 Déjà, une photo d’un animal mort dans un centre médical, ça ne doit pas vraiment rassurer, au contraire ! Personnellement, je me demanderai « où est-ce que j’ai mis les pieds », et surtout « que vont-ils faire de moi ?! ». Je ne chasse pas et je n’apprécie pas vraiment ce loisir, mais je connais pas mal de chasseurs qui adorent la nature et observer les animaux, sans forcément les mettre dans leur ligne de mire. La chasse est un moyen de régulation des populations, ne l’oublions pas. Cela étant dit, je jette cette casquette de défense du chasseur, pour reprendre la mienne, celle d’une amoureuse de la nature et des êtres qu’elle abrite. Bonne continuation !
Bravo Régis pour tous ces podcasts que tu réalises, on en apprends à chaque fois un peu plus. Merci !
SAlut Vanessa,
je pense que Séverin a dit ça sur le ton de la plaisanterie ou en tout cas pour bien faire passer le message que les supports visuels sont avant tout fait pour orienter la discussion.
Pas question de rentrer dans un débat pro ou anti-chasse dans ce fil mais juste une remarque quand même : la nature n’a pas besoin de la chasse pour se réguler.
Et merci pour ton com’ 🙂
Je suis tout à fait d’accord avec toi : la nature se débrouille très bien toute seule pour la régulation des populations, faut juste lui donner le temps de s’en charger ! 🙂 L’Homme est malheureusement pressé quand il s’agit de son confort, donc lorsque il y a un boom d’une espèce qui occasionne des dégâts perturbant sa vie quotidienne (pro ou perso), la solution la plus simple au « problème » (souvent dont il est à l’origine d’ailleurs…) est la régulation par lui-même… 🙁 Les exemples sont nombreux et les débats faciles à lancer ! 😉
Pour revenir au podcast, je me doute que cet exemple n’a pas été donné en attaque aux chasseurs (encore que :p), c’est juste l’association animal mort et chasseur qui m’a dérangé sur le moment, et encore plus l’idée d’une photo de cadavre pour rassurer les patients (chasseur ou non) ! 😉
En tout cas belle utilisation de photos animalières, pour le patient comme pour le photographe ! 🙂
oui oui c’était du second degré… a force d’en faire ca me joue des tours parfois… j’ai des amis chasseurs et même si je ne cautionne pas la chasse c’est surtout certaines pratique de certains chasseurs que je dénonce…
Je suis certain que tout le monde l’a compris ?