Dans cet article, vous apprendrez à utiliser le service google maps pour organiser efficacement toutes vos idées de sortie photo.
Notez toutes les idées de vos sorties photo
Si vous vous souvenez de l’article Comment trouver l’inspiration en photo animalière, celui-ci est la suite.
L’objectif de ce billet est de vous permettre de ne plus avoir à vous dire “bon alors qu’est-ce que je vais photographier aujourd’hui ? pffff, j’en sais rien, je sais qu’il y a des choses à faire, mais je ne sais plus où ! Si j’avais noté au fur et à mesure …” Levez la main ceux qui se sentent concernés ! Ah quand même, tout ça ! Bon alors le cours va commencer 🙂
Les écrits restent, la mémoire s’envole
Ce proverbe n’est pas tout à fait l’original (qui doit être un truc comme “Les paroles s’envolent, les écris restent“), mais ça marche aussi ! Depuis assez longtemps déjà j’ai pris l’habitude de noter les idées qui me traversent l’esprit. Comme je n’en ai pas toutes les dix secondes, ca va, ça n’est pas trop chronophage !
Pour mon travail, mes affaires perso, peu importe le domaine : je note les idées qui sont suffisamment intéressantes pour être couchées sur papier. Enfin, je devrais dire taper sur clavier : car je vis avec mon temps 🙂 Aux oubliettes carnet de note et autres mémo papier ! Mon iPhone smartphone avec une application dédiée, pour moi, c’est le top : tout est classé par catégorie, je retrouve mes notes par mots-clés ou par date.
Bref, tout cela pour vous dire que cette (bonne ?) habitude, je l’ai évidemment gardée pour la photo animalière. Au cours de mes sorties, je fais l’effort de prendre en note ce qui pourrait m’être utile en classant tout ce beau monde par catégories, sur des cartes … je n’en dis pas plus, on verra cela plus tard dans l’article 😉 .
Ne vous dites pas … je m’en souviendrai, c’est bon !
Ah, on lutte tous contre le fameux “je le ferais plus tard” … sauf que plus tard, c’est trop tard ! Imaginez un peu : lors d’une billebaude, vous découvrez un joli petit étang avec presque tous les ingrédients pour faire une belle photo d’ambiance. Il ne manque qu’un peu de brume pour en faire un tableau parfait. Ce jour là biensur, le brouillard est absent mais vous vous dites “ok, je sais à peu près l’emplacement de l’étang, dès que les conditions sont réunies, j’y retourne”. Vous me voyez venir ! Le jour J, celui de la brume éclairée par le soleil levant, hop, direction l’étang “euh, l’étang, c’était où au juste ?” 🙂
J’ai aussi une autre version, encore pire celle-là. Le jour J donc, vous voyez bien que la météo est excellente pour des photos d’ambiance. Votre réflexion : “hum, c’est vraiment dommage de passer à coté de cette lumière mais je ne vois pas trop où je pourrais aller pour en profiter”
Bon, vous avez compris ma démonstration : si dès votre découverte de l’étang vous aviez noté son emplacement et aussi les conditions attendues pour y retourner, tout cela ne serait pas arrivé.
Tutoriel pour utiliser les services google maps en photo animalière
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ETAPE 1 : création de cartes personnalisées dans google maps
Pour bénéficier des services gratuits de Google Maps, pas d’autres choix que de se créer un compte chez Google. Si vous y êtes allergiques, pas la peine d’aller plus loin dans l’article ! Ceux qui ont déjà un compte, passez au premier point, pour les autres, inscrivez-vous ici, c’est gratuit et ça ne rapporte rien !
- chouette, vous faites partie de la petite famille Google. Allez, filons directement au service Google Maps et vous aurez la page suivante sous les yeux.
- il est temps de créer votre première carte personnalisée : cliquez sur l’onglet “mes adresses” entouré de rouge ci-dessus
- sur le nouvelle page, repérez le gros bouton rectangulaire rouge “créer une carte” … et tapez dessus
- une nouvelle page s’affiche sur laquelle vous pouvez rentrer les caractéristiques de votre nouvelle carte. Exemple :
- Titre : mammifères
- Description : points d’intérêts repérés lors de mes sorties (indices de présence, rencontres, cris, …)
- Confidentialité : deux choix s’offrent à vous, rendre la carte publique ou la rendre confidentielle. Je conseille plutot de rendre les cartes sur la faune confidentielles (certains chasseurs pourraient s’en servir) et les cartes type paysages, rendez-les publique.
- Validez cela en cliquant sur OK … votre première carte est enfin créée ! Alors, ça fait quoi ?
N’hésitez pas à répéter la même opération pour d’autres types de cartes. Voici les miennes ci-dessous, ça n’est qu’un exemple, il n’y a pas de limites !
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ETAPE 2 : utiliser google maps en sortie photo
Vos cartes de Google Maps nouvellement créées sur internet auront tout leur intérêt seulement si vous utilisez ce même service Google Maps sur le terrain, en sortie photo. Ne commencez pas à débrancher votre ordi pour l’apporter en billebaude ! Il existe une solution bien pratique, à condition de posséder un smartphone, un téléphone intelligent en français : l’application Google Maps pour mobiles qui doit être normalement pré-installée, sinon téléchargez-la, elle est gratuite.
- mettre dans votre poche, votre smartphone préféré (Androïd, iPhone, BlackBerry, WindowsPhone, Nokia, … vous en voyez d’autres ?)
- partir sur le terrain en billebaude, en balade de reconnaissance de terrain
- dès que vous apercevez un élément intéressant, voici ce que vous devez faire :
- lancer l’application Google Maps (attention, vous devez capter le réseau téléphonique)
- cliquer sur l’icône en forme de flèche, l’ordre est donné à l’application de centrer la carte sur votre position
- une fois votre position repérée par l’application, appuyer sur le bouton en forme de page relevée, plusieurs options sont disponibles
- trouver l’onglet “Placer un repère” et cliquer dessus
- de retour sur la carte, une punaise se plante là où vous êtes (sur le smartphone, pas en vrai 😉 ) c’est fait, votre repère est placé.
- cliquer sur la flèche blanche cerclée de bleu
- repérer puis cliquer sur “ajouter aux signets”
- sur la nouvelle page qui s’affiche, renommer votre point d’intérêt, par exemple “sujet + date + heure”
- ne pas oublier d’enregistrer … et voilà, votre premier point d’intérêt est enregistré sur votre smartphone, vous n’avez plus à vous en soucier
- répéter l’opération aussi souvent que nécessaire : un terrier de renard, des indices de présence de lapins, un martin pêcheur qui passe en flèche, bref,
votre voisine qui bronze au soleil
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ETAPE 3 : synchroniser les données google maps
Vous êtes de retour à la maison, le smartphone toujours en poche mais lesté de nombreux points mémorisés, il ne vous reste plus qu’à vous les envoyer par mail sur votre propre adresse mail, un auto-envoi en quelque sorte !
- nous sommes donc encore dans l’application Google Maps à partir du smartphone, cliquer sur l’onglet en forme de page retournée, puis sur le bouton “Liste”
- Et là, vous devriez retrouver l’ensemble des points d’intérêts mémorisés au cours de votre sortie
- Pour chaque point d’intérêt, cliquez sur la flèche bleue cerclée de blanc
- Puis sur l’onglet “Envoyer ce lieu” via courrier électronique (vous pouvez le twitter si ça vous chante 🙂 et même l’envoyer par MMS à votre belle-mère)
- Rendez-vous sur votre boite mail, et grâce au miracle de la technologie, tous vos lieux repérés sont donc sur votre ordi.
- Allez sur internet, puis connectez-vous à votre compte Google pour aller sur la page Google Maps
- Revenez dans la boite mail de l’ordi et zou, cliquez (vous en aurez fait des clics 🙂 ) sur les liens des points d’intérêts dans les e-mails reçus.
- Comme par magie, vous avez devant vos yeux remplis d’émotion une carte sur laquelle figure un des points remarquables noté sur le smartphone en pleine brousse
- il ne vous reste plus qu’à cliquer (encore !) sur “ajouter à mes cartes” puis sur le menu déroulant et choisir la carte concernée, parmi celles que vous avez créées.
Un exemple de carte que j’ai créée
Je vais vous la faire courte ici, une image valant mille mots, voici ci-dessous un exemple de ma carte “Oiseaux”.
Remarquez qu’en bidouillant un peu dans vos cartes et dans vos points d’intérêts, vous avez de nombreuses possibilités pour personnaliser votre contenu. J’ai notamment tracé une zone dans laquelle sévit un martin pêcheur ou encore un point précis où je vois souvent un héron cendré.
Maintenant, c’est à vous de jouer ! Tout le processus décrit paraitra long et fastidieux pour certains d’entre vous, mais je vous assure que s’astreindre à cet effort ne pourra que vous faire progresser et vous démarquera du photographe animalier de base ;), vous savez, celui qui ne prend pas le temps de noter ses rencontres et de ne pas rechercher le nom des espèces rencontrées!
Mise à jour : pour ceux qui souhaitent aller plus loin dans la fonction Géolocalisation de leurs photos, vous pouvez télécharger un document PDF que j’avais créé : le geotagging, une nouvelle façon de classer vos photos.
Utilisez-vous aussi Google Maps pour vos sorties photos ?
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La technique ne semble pas fonctionner sur gg maps android, à moins d’utiliser l’appli My maps.
Une idée?
Bonjour , je suis un petit nouveau sur votre blog . Je souhaitais en apprendre plus sur la photo animalière comme débutant que je suis et je dois dire que j’adore vos aide/conseil donc je tenais à vous remercier 🙂 ! Je me ferais tout petit mais je serais présent !
Kévin
Hello Kevin !
Merci pour ton commentaire 🙂 ravi de te voir ici !
Alexandrine Bonjour et un tout grand merci pour ce tutoriel super bien fait . Merci monsieur de nous aider à progresser.
[…] des astuces pour repérer des sites à photographier […]
[…] La première partie de votre repérage se fera tranquillement comme souvent pour ma part, derrière votre écran d’ordinateur, sur @google map ou @geoportail . [Note de Régis : j’ai écrit un article au sujet du repérage à l’aide de Google Maps] […]
[…] Pour gagner du temps je vous conseille de jeter un oeil à l’avance sur une carte IGN ou mieux (d’après moi !) sur un outil comme Google Maps ou Geoportail. Repérez alors les zones faites de bocages, de lisières de forêts, ouvertes et parsemées de bosquets. Bien sur, il faut qu’une route passe dans cette zone. Car je vous rappelle que l’idée est de les voir sans descendre de votre voiture. N’hésitez pas à lire mon article complet sur comment bien utiliser Google Maps […]
[…] Il est tout à fait possible de procéder de la même façon pour d’autres biotopes. J’avais d’ailleurs écris un article pour vous apprendre à repérer un spot photo avec Google Maps. […]
[…] repérer puis lister les différents lieux d’action. A ce sujet, vous pouvez re-lire l’article que j’avais écris sur l’utilisation de Google Maps pour la photo animalière […]
Bonjour à tous
Wouah! Quel tuto! Comme je prend de la bouteille j’avoue travailler ma mémoire à l’ancienne:-))
Quand j’ai trouvé un indice, animal ou site qui m’interpelle, je le photographie, puis je regarde autour de moi (environnement, végétation, biotope,lumière,etc,…) et je retourne jusqu’à mon point de stationnement en continuant de mémoriser certains points que je serais sûre de reconnaître, je fais parfois un croquis des diff. axes et note les lieu-dit. Puis à la maison je consigne mes infos sur un carnet et je visionne sur Géoportail (je le préfère de plus en plus à Google MAp) car je peux jouer sur les opacités des vues: aérienne, tracé IGN, hydrographie et récemment cadastre (demande en mairie coordonnées propriétaire pour autorisation d’affût). Voilà un système assez classique mais qui a le mérite dans ma situation de rencontrer aussi des gens du coin et si le courant passe: pleins d’infos sur le coin, habitudes,chasse et les animaux présents aussi:-))
Comme tu le résumes si bien Régis, ces systèmes restent des aides, à nous de concilier modernisme et vieilles méthodes…
Vraiment génial comme billet. Pratique pratique ! Merci pour le partage et surtout le détail pas à pas. 🙂
Bonjour Sophie et bienvenue sur le blog.
Merci pour ton commentaire ! Je suis allé faire un tour sur ton blog, très sympa et surtout de très jolies photos. Je me suis abonné à ta newsletter,hâte de recevoir de nouvelles photos 🙂
A bientôt !
cool !!! merci 🙂
Salut Régis et merci pour l’info 🙂
Il y à une petite astuce également pour récupérer facilement ses cartes google MAP pour les intégrer dans l’Iphone.
On peut effectivement soit exporter le fichier KML ce qui nécessite un minimum de préparation.
La seconde solution qui est plus pratique est d’installer une fois Google Earth à partir de son Iphone, et ensuite de se connecter avec son compte Google. (A faire dans les prefs)
Comme par magie, toutes nos cartes vont apparaître dans l’application Google Earth en mode satellite 🙂
Ah oui effectivement, cela reste une excellente solution pour avoir dans le creux de la main en sortie les cartes créées sur son ordi ! Bon après, il ne faut pas tomber dans le piège du type qui passe son temps la tête rivée sur le smartphone et qui ne voit plus rien de la nature qui l’entoure ! Ne pas oublier que c’est une aide, précieuse selon moi, mais une aide seulement 🙂
Super cette technique qui va m’aider a suivre mes cerf ….. Merci Regis
J’utilise déjà ce procédé de carte, mais tout autrement. Je fais des cartes interactives pour mes stagiaires pour qu’ils sachent où on va, où on dort, qu’est ce qu’on risque de voir. C’est très sympa et bien pratique. Exemple pour notre stage à Gourette en juin : http://stage-photo-pyrenees.fr/fr/10-stage-photo-gourette.html
Sinon, à part ça, tu m’invites dans ton coin à martin ? 😀
Très bon article qui va en aider plus d’un, même si j’ai une mémoire en béton haha 😀
ah le coin à Martin !! je l’aime bien celui-là, il passe repasse, une vraie fusée … un martin quoi !! En ce moment d’ailleurs, ce sont surtout les pêcheurs qui sont présents dans ce coin là.
En tout cas tu sembles aussi apprécier Google maps : ta carte sur ton site est excellente. j’aime beaucoup pouvoir personnaliser quasi à l’infini les cartes : coloris, pictogrammes, il y a de quoi se faire plaisir.
Haha, pareil ici, je vois plus de pêcheurs que de martins ! 😉
Oui, merci =) J’aime bien Google Maps, c’est assez facile à gérer et les clients connaissent en général. En plus, si on veut on peut aussi avoir la vue satellite, relief, plan… Et on peut même afficher des photos prises par d’autres internautes dans le coin. Pour moi, c’est top !
Extra, je me suis toujours demandé comment utiliser les points enregistrés sur mon bigot.
Merci !
Salut Régis,
Beau boulot de synthèse.
Avec les outils Google, j’ajouterai à ta panoplie l’application « Mes parcours » de la firme Google aussi. C’est un must have comme on dit.
L’intérêt c’est que même sans couverture internet, il enregistre ton cheminement sous forme de trajet que tu peux commenter au fur et à mesure.
Et de la même manière, une fois rentré chez toi, tu t’envoies le parcours en entier avec les repères que tu intègres à tes cartes.
Ça sert même à géotagguer tes photos avec un logiciel idoine (j’utilise Geosetter sous Windows).
Pour Geosetter, plus loin dans les commentaires, Laurent parle aussi de ce logiciel. C’est vrai qu’il faut un minimum de compétences en informatique, d’esprit de bidouille, mais pour ceux qui aiment travailler et tester ces outils, faut pas hésiter. Bon, faut quand même faire attention à ce que le temps passé à essayer ces logiciels prenne le pas sur le temps de photo !
Pour ton application « mes parcours » en voilà une appli pratique ! En plus le lien que tu donnes est excellent car une vidéo explique l’intérêt de la chose. Je remarque qu’à la base c’est une appli pour les coureurs à pieds, détournée par les photographes nature 🙂
Pour les iPhone, le même genre d’appui existe, on pourra parler par exemple de iPhiGéNie à la base prévue pour le … VTT 🙂
Shfuuu…shfiiiuuu!!!!
Non, ce n’est pas une « parole » d’oiseau, mais un sifflement (c’est difficile à traduire avec des lettres) d’admiration pour le travail réalisé.
Tu devrais te convertir dans les onomatopées de Bande Dessinée 🙂 tu maitrises parfaitement le bruitage des animaux 😉
Merci beaucoup pour le compliment, c’est gentil ! ce qui a été long, d’ailleurs plus que ce que j’avais prévu au départ fut la mise en ligne des captures d’écran : une par une, le genre de tâche répétitive un peu longuette !
Merci Régis comme d’habitude beaucoup de travail au bénéfice des photographes. Super tuto avec tous mes remerciement.
Jeff
Salut Jeff
merci à toi pour avoir laissé ce commentaire sympa 🙂
A bientôt !
Merci pour le partage 🙂 personnellement en plus de Maps je me sers également à la maison du site Géoportail en mode « carte » avant de faire des repérages, il me permet de voir certains chemins et sentiers dans des endroits que je ne connais pas, gain de temps assuré qui permet de moins se perdre.
Au pire je fais une copie d’écran que j’imprime et que j’emmène pour ma première « visite ».
Très bonne idée le coup de la copie d’écran pour l’emmener sur le terrain : une boussole, ta copie d’écran et quelques notions d’orientation et le tour est joué ! Pour aller plus loin, je sais que le site de l’IGN propose de créer des cartes au 1/25000 sur mesure : imaginons que ton coin de jeu est pile sur une frontière entre deux cartes 1/25000 tu es vite embêté. Avec ce principe, tu te créer la carte pour ne plus avoir ces désagréments. Bien sur, cela a un coup.
Sympa tout ça; je savais que j’aurais dû m’acheter un smartphone!!!
Même sans, je prépare mais sorties paysage avec google earth, et rentre mes itinéraires dans le gps, et c’est vrai c’est sympa. Après j’ai quand même de quoi noter.
Mince c’est qd même valable un smartphone!
Ah oui, un smartphone, c’est valable et là tu parles à un convaincu ! J’utilise un iPhone depuis longtemps et c’est une extension de ma main 🙂 Je n’ai plus d’agenda papier, plus de carnet d’adresse papier, plus de post-it, plus de GPS genre tom tom … bref pour moi, un outil indispensable au quotidien ! Je ne suis pas un inconditionnel d’iPhone car j’aime bien ce qu’à fait windows avec le windows phone. Mais bon on s’éloigne de la photo 😉
Bonjour Régis!
Et as tu eu l’occasion d’essayer d’appliquer cela avec les appareils photos directement?
De plus en plus nombreux appareils photos et de plus en plus nombreuses caméras intègrent un positionnement gps de la photo..
Je ne me suis pas encore penché sur le sujet mais ton article me donne l’envie de le faire.
Je te souhaite une belle journée:
Xavier
PS Maintenant après la lecture de ton article on ne pourra plus dire (C’était ou déjà cet étang ?;)
Hello Xavier,
je n’ai pas l’équipement nécessaire pour tester la prise de vue directement couplée à un GPS. Je sais qu’il existe des solutions type GPS qui se fixe sur la griffe du porte flash d’un reflex, cela évite d’avoir à investir dans un nouvel appareil ! L’idée ici serait que dans les données EXIF de chaque photo figure les coordonnées GPS. Une fois mises sur l’ordi avec le logiciel adéquat, on pourra voir ses photos affichées sur une carte : une nouvelle façon d’organiser ses photos : par lieu plutot que par date ou espèce.
D’ailleurs, pour ceux que cela intéresse particulièrement, j’avais créé un doc PDF sur le principe de la géolocalisation de ses photos. Il est téléchargeable ici :
https://www.auxoisnature.com/wp-content/uploads/2011/02/le-geotagging.pdf
Merci pour ce tuto fort intéressant, y-a plus qu’à…
Merci Régis, c’est une super idée. Perso, je commence à me servir de google maps avec la nouvelle application carte dans LR4, super intéressant. Cette idée est à creuser… Pour ne plus laisser passer de beaux endroits et de belles photos
Salut Bénédicte,
cela veut dire que tu as déjà acheté et téléchargé LR4 !! Tu n’as pas trainé 🙂
Je ne connais pas cette fonctionnalité Carte dont tu parles puisque je travaille avec Aperture qui propose aussi une fonction localisation des photos à l’aide de coordonnées GPS. Si les deux fonctions des deux logiciels sont dans le même esprit effectivement, cela est un outil très pratique car très visuel : voir ses photos sur une carte est efficace pour rapidement se remémorer les conditions de prise de vue.
Bonjour Régis,
Si on n’a pas encore LR4, il existe une application gratuite, Geosetter, qui permet de tagger dans les EXIFS de la même manière, en se servant de google maps.
http://www.geosetter.de/en/
Hello Laurent,
merci pour l’info, je ne connaissais pas Geosetter, je suis allé voir leur site, ça à l’air effectivement puissant comme outil, par contre c’est en anglais … ou en allemand 😡
Mais je me le garde sous le coude, comprendre mis en favoris pour en faire le test.
Le site est en anglais et en allemand (l’auteur doit être allemand vu l’URL). Par contre le logiciel a été traduit en 14 langues dont le français.
Malheureusement le fichier d’aide n’est qu’en anglais. Mais l’interface est suffisamment intuitive pour pouvoir se passer de sa lecture.